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Croire en l’erreur historique ou l’espoir humain ?

L'homme n'arrive que par de bien lents progrès à comprendre, à aimer son

semblable : le dernier sentiment auquel s'élève l'humanité, c'est l'humanité.

Nombreux sont les moments au cours de l’Histoire où l’homme a désespéré face à tant de bouleversements soudains.

Si la violence appelle la violence, prendre les armes n’est pas la garantie d’une victoire. De même que la résignation entraîne la déchéance, l’abaissement de l’homme, sensé se délivrer d’un système pour ne pas accepter la médiocrité imposée.

Ainsi, élever son être tout entier, au-delà des contraintes politiques, environnementales et structurelles liées directement à l’entreprise et se diriger vers la création d’une autre forme d’humanité devient primordial.

La vie place en chacun de nous des espoirs, des attentes et un potentiel que nous nous devons d’explorer. De la même façon que le grain germe en terrain fertile, la vie se veut un enseignement riche dans lequel il nous suffit d’inclure des pensées et des paroles positives afin de révéler l’éclat de nos compétences. De cette manière, chacun doit s’imposer de reprendre les rênes de son existence pour ne pas laisser la puissance de l’autre avoir quelque emprise sur notre être, notre vision du monde et les projets auxquels nous aspirons.

A chaque période de grand changement, l’Histoire nous enseigne deux voies distinctes :

  • Celle de l’enthousiasme et de l’espoir.

  • Celle de la désespérance et de l’indifférence.

Laquelle choisissez-vous de suivre ?

Dans un monde rempli d’incertitudes, les codes changent à tous les niveaux, à tel point que chacun y perd ses propres repères.

Cette instabilité latente, loin des promesses de stabilité rassurantes relayées par les uns et contredites par les autres, nous engage sur le chemin de l’hésitation et du doute, déclenchant un processus de questionnement.

Ce dernier s’opère à plusieurs niveaux :

  1. Véracité des informations communiquées.
  2. Velléité de transmettre la vérité.
  3. Assurance sur le positionnement de nos interlocuteurs.
  4. Mise en cause de leur responsabilité envers des états, un peuple ou des salariés.

Comment appréhender ces situations nouvelles
auxquelles nous sommes tous confrontés ?

Si la réponse peut paraitre simple ou banale, la mise en application ne semble pas si familière à tous.

La base de toute réussite, du dépassement des événements imposés réside dans votre aptitude à croire en vous, en votre potentiel, en vos rêves et actions menées.

Chaque citoyen aspire aujourd’hui à ce changement, en soi bien éloigné des idées de révoltes ou de guerre civile véhiculées par certains. Afin de ne pas s’apitoyer sur les difficultés rencontrées relatives à chaque parcours de vie, de ne pas focaliser sur ses malheurs, et dans un but d’ouverture, une possibilité s’offre à ceux désireux de transgresser le négativisme ambiant, en choisissant de changer de sa vision du monde pour changer sa vie.

L’évolution passera par cette volonté de poser des fondations solides : celle de croire en soi, en l’aptitude de pouvoir parvenir à ses objectifs, progresser et réussir dans un contexte instable.

A cette étape, chacun retient toujours plus ses lacunes plus que ses talents, ses échecs plus que ses réussites !

Le processus d’acceptation permet d’intégrer les facteurs suivants :

  • Le monde traverse une phase de bouleversements majeurs.
  • Les fondements mêmes de certains systèmes s’effondrent.
  • Chacun commet des erreurs, y compris les dirigeants.
  • La vie ne vous garantira jamais le bon déroulement des opérations.
  • La fiabilité est rare, mais encore présente.
  • La personne la plus douée pour vous faire progresser au sein de l’humanité reste vous-même.

Maintenant, comment voir l’avenir avec un regard différent ?

  • Redéfinir et évaluer vos objectifs

Comme tout à chacun, vous avez des rêves, des ambitions secrètes que seule votre persévérance vous aidera à réaliser.

  • Se concentrer sur le changement à mettre en place.

Régulièrement, la plupart des gens déterminent aisément ce qu’ils ne souhaitent pas, mais rencontrent des obstacles à décrire leurs projets avec précision. En ciblant ses attentes personnelles et les inscrivant par écrit, il parait plus évident de mesurer son avancement. Ne jamais s’éloigner des décisions prises.

  • Développer ses compétences

De nos jours, l’Homme bénéficie de moult méthodes mises à sa disposition pour se perfectionner et s’ouvrir à l’international. Parfois sur la défensive ou par méconnaissance, sa démarche ne s’inscrit pas toujours dans cette logique, mais persiste à se fourvoyer par choix, par peur ou par ignorance dans des schémas destructeurs mensongers, alors qu’il appartient à chacun s’en libérer.

  • Apprendre ou le marché de l’intelligence.

Etre en quête perpétuelle d’informations et se former en continu sans jamais se limiter à notre savoir et à nos contacts préétablis.

  • Ne pas se laisser dominer par la peur.

Des soucis familiaux, une période de chômage déstabilisent une vie et tendent à laisser les pensées négatives vous dominer. Surmonter son appréhension du lendemain, avoir un regard lointain sur cette période de changement brutal permet de relativiser les évènements et de les dépasser.

Le désir d’avancement doit surpasser la peur, le manque et la frustration.

  • Positiver et se motiver.

La motivation est le facteur clé, moteur de votre évolution, celui qui permet de transcender toutes les pensées négatives en actions positives. La force de conviction suggère de concrétiser l’ambition à laquelle chacun aspire. Outre cet aspect, elle permet de garder le contrôle des émotions, privilégiant un état d’esprit de confiance.

  • Rester dans l’action.

Votre attitude détermine vos résultats. Ainsi, en adoptant un comportement franc et enthousiaste, en s’exprimant sans détour, se reflète la projection de notre engagement. Vivre pleinement son présent en développant ses projets, ses richesses intérieures avec fougue, éloigne naturellement un entourage toxique et d’éventuelles problématiques.

L’engagement du futur se fonde sur l’espoir et la croyance, riche de connaissances et d’actions combinées.

Face à ce tournant historique, prioriser notre reconnexion à la terre et notre relation à l’Homme, dans une volonté de limiter le pouvoir dominateur, au détriment d’une coopération recentrée, de viser l’interdépendance et travailler avec ardeur à éteindre l’insécurité. Seule une civilisation intuitive et empathique consciente amène le courage pour créer un lointain duquel aucun ne sera exclu.

Faire ce que nous croyons juste pour nous et pour l’autre, car seul ce sentiment d’équité permettra de distancer les conflits maintenant et pour l’avenir.

L'homme n'arrive que par de bien lents progrès à comprendre, à aimer son semblable : le dernier sentiment auquel s'élève l'humanité, c'est l'humanité.

Marie d'Agoul