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Bibliographie

Altruisme, Empathie et Générosité

Dans les hautes sphères, la gentillesse serait perçue comme une forme de naïveté et seul un bon esprit critique et tranchant démontre une forme d’intelligence. A quel titre, tenir des propos négatifs serait-il plus valorisant qu’un optimisme à toute épreuve ?

Jacques Lecomte, psychologue aborde le sujet avec brio en décelant les idées reçues. Au travers de cet ouvrage, il nous démontre, d’une part, que la violence et l’égoïsme n’entachent pas notre vraie nature.

Jacques Lecomte, docteur en psychologie enseigne à l'université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense (anciennement Paris-X-Nanterre) et à la faculté des sciences sociales de l'Institut catholique de Paris. Il est le président de l'Association française et francophone de psychologie positive. Il a notamment écrit Guérir de son enfance et Donner un sens à sa vie.  Plus d’informations sur Psychologie Positive
D’autre part, les médias véhiculant des informations négatives influent sur le comportement. Certes, la violence existe mais ne doit pas occulter les autres côtés de la vie. De même, certaines sciences humaines (sociologie, éthologie, psychanalyse ou géopolitique) tendent à décrire l’homme d’une manière négative (manipulateur, calculateur ...). Au niveau de l’économie, l’exemple est flagrant : La théorie de l'économie de marché fondée sur la fameuse Fable des abeilles (publiée en 1705 par Bernard Mandeville philosophe anglais) explique comment l’égoïsme de chacun peut contribuer au bonheur de tous. On se rend compte que cette théorie est fausse puisque seule la sympathie, la générosité de l’homme permettent de construire une société saine.
 
Boris Cyrulnik dans son approche, à bien des niveaux, rétablit une vérité qui vise à décrire un Homme Bon. Aujourd'hui et de plus en plus, l’humain se crée des repères autour du don de soi, des actions bénévoles, des dispositions empathiques du cerveau, des stratégies altruistes et de l’apprentissage coopératif.
L’homme a le choix d’être bon ou de ne pas l’être !

Jacques Lecomte oriente quant à lui son travail vers la psychologie positive, faisant ressortir nos valeurs telles que la confiance, la justice, la coopération, le respect, la solidarité, le courage. Selon lui, elles peuvent contribuer au bien commun dans les relations interpersonnelles, mais également au niveau social (éducation, santé, travail, entreprise) et politique (justice, économie, environnement, relations internationales). Il opte pour ce qu’il qualifie l’optiréalisme.

Son œuvre La Bonté Humaine se compose de deux parties.

La première traite d’évènements basés sur des recherches scientifiques et des histoires de vie où la bonté ressort alors que nous aurions pu nous attendre à des réactions de violence ou d’égoïsme.

La deuxième partie a pour objet de comprendre les principaux fondements de cette aptitude à la bonté chez l’être humain.

Jacques Lecomte, docteur en psychologie enseigne à l'université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense (anciennement Paris-X-Nanterre) et à la faculté des sciences sociales de l'Institut catholique de Paris. Il est le président de l'Association française et francophone de psychologie positive. Il a notamment écrit Guérir de son enfance et Donner un sens à sa vie.
Plus d’informations sur Psychologie Positive

Le résumé du questionnaire ici . Si quelqu'un répond à 14 de ces critères, il est manipulateur. Vous trouverez dans ce livre les 30 critères permettent de déceler un manipulateur.

Les manipulateurs sont parmi nous d'Isabelle NAZARE-AGA.

Du même auteur, Les manipulateurs et l'amour. Que faire d'une relation amoureuse qui détruit ? La manipulation mentale est l'outil principal de certains êtres qui nous entourent. Cette véritable entreprise de destruction est à l'origine de nombreux traumatismes. Comment fonctionnent ces personnalités psychologiques ?

3 solutions s'imposent : prendre conscience du procédé, savoir reconnaître le manipulateur, se protéger.

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Dans la première partie de ce livre Jung nous explique combien «nous dépendons, dans des proportions angoissantes, d'un fonctionnement ponctuel de notre psychisme inconscient». Il présente l'inconscient en ces termes : «ni concentré, ni intensif, mais crépusculaire jusqu'à l'obscurité, il y gagne une extension immense et il renferme côte à côte, de façon paradoxale, les éléments les plus hétérogènes ...». La conscience, cette précieuse conquête de l'homme, est «entourée par les abîmes de l'inconscient comme par une mer menaçante». La méditation sur les rêves, produits spontanés de l'âme inconsciente, nous offre la possibilité d'ouvrir le dialogue et de diminuer cette menace qui pèse sur nous. La suite sur L'Homme à la découverte de son âme

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La Peur D'Aimer ...

Dans le monde de l'amour et de l'intimité, nous sommes souvent nos pires ennemis.

Nous sabotons nos relations, nous gâchons toutes nos chances, nous accrochant à des partenaires qui ne nous conviennent pas et laissant échapper de véritables occasions de bonheur. Cet ouvrage explique comment nous pouvons progresser vers le changement afin de trouver l'amour que nous méritons. Vous y apprendrez à reconnaître et à surmonter les huit principaux obstacles susceptibles de se dresser entre vous et l'être avec qui vous pouvez vivre une relation durable.
 

Vous saurez enfin discerner les personnes qui présentent des possibilités vraiment intéressantes et entretenir des rapports harmonieux avec celles qui vous tiennent le plus à cœur. Que vous ayez vous-même des difficultés à envisager l'idée de l'engagement ou que le manque d'enthousiasme affecte plutôt votre partenaire, ce livre vous donnera à tous deux les moyens de comprendre et de résoudre vos conflits.

Site consacré à l'ouvrage http://commitmentphobia.com/main.htm
 

Steven A. Carter, américain, auteur de la non-fiction, l'auto-assistance et d'humour.

Il est l'auteur de vingt-deux livres, y compris les New York Times best-seller Les hommes qui ne peuvent aimer (avec co-auteur Julia Sokol) et sept autres Meilleures ventes nationales. Il est l'inventeur de l'expression " Commitmentphobia "en 1987 et est reconnu comme l'un des plus éminents sur les sujets de l'engagement, la peur de l'engagement, troubles de l'attachement, et trouble de la personnalité narcissique .

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Développer et Croire en son Intuition
Alexis Carrel disait dans l’Homme, cet inconnu : « Tous les grands hommes sont doués d'intuition. Un vrai chef n'a besoin ni de tests psychologiques, ni de fiches de renseignements pour choisir ses subordonnés. » Qu’est-ce que l’intuition, comment s’y fier et la développer ?
Le Docteur David O’Hare estime que 90% de nos décisions résultent de nos intuitions plus que d’une réflexion. Notre intuition nous permet d’agir ou de réagir plus rapidement aux situations qui se présentent. Erik Pigani, dans la préface du Livre Intuitions, décrit tout à fait l’état d’esprit de notre société. L’intuition est trop souvent reléguée dans la catégorie des « phénomènes inexplicables », si ce n’est dans celle des sulfureux « pouvoirs occultes ».
Pourtant, il s’agit d’une faculté bien humaine, d’une véritable intelligence dont la grande majorité d’entre nous – en dépit des assertions de la science – a pu faire l’expérience au moins une fois dans sa vie, et que certains sont même capables d’écouter et d’utiliser au quotidien.
Le Bouddha, quant à lui, disait que l’intuition est la source de la vérité ultime, et comme la nature de soi-même, elle permet de découvrir la totalité de l’univers en chacun de nous.
On aurait cependant tort de considérer l’intuition comme une faculté « annexe », d’une utilité relative. Déjà, Carl Gustav Jung l’avait définie comme l’une des quatre fonctions psychologiques fondamentales, et donc indispensables à l’épanouissement de notre personnalité (les trois autres étant la sensation, le sentiment et la pensée).
David O’Hare distingue plusieurs intuitions ; l’intuition que l’on pourrait qualifier d’interne est une empreinte émotionnelle de nos expériences passées, installée dans un coin de notre mémoire où automatiquement nous allons chercher nos réponses lorsqu’une situation similaire se produit ; l’intuition externe fait appel à une conscience en dehors de moi, forte des expériences des Hommes et de leurs émotions (mémoire, souvenirs, pensée). Il semble que le temps n’existe pas sur ce support, qu’il soit immatériel. Ceci expliquerait les prémonitions ou la connaissance du passé.
Comment repérer les signaux qui nous sont envoyés ? Là, est souvent le danger. Nous cherchons automatiquement à diriger nos pensées, à prendre la meilleure décision ou tout au moins celle qui nous semble être la plus rationnelle. Ce manque de confiance en nous, en nos propres ressentis, nous conduit parfois à l’échec. Combien de fois avez-vous pressenti un danger, le sentiment de ne pas vous diriger dans la bonne direction et pourtant, vous avez poursuivi votre projet en connaissant les risques. En renonçant à notre désir de tout contrôler, en laissant faire une part de hasard, nous pouvons obtenir des réponses fiables. La logique et la raison (hémisphère nord de notre cerveau) nous permettent de détailler et d’analyser tout nouvel évènement. L’intuition (hémisphère droit) fait appel à nos émotions et mémoires. En restant à l’écoute, en faisant référence à nos expériences, nous trouvons instinctivement les réponses appropriées. L’intuition n’est pas un don rare que seuls quelques privilégiés possèdent, mais une capacité qui existe en chacun de nous et qui ne demande qu’à être cultivée et développée. Qu’il s’agisse du domaine professionnel ou sentimental, pour toutes nos décisions, le recours à l’intuition est primordial.

Grâce à Intuitions, co-écrit avec le parapsychologue Jean-Marie Phild, vous allez découvrir en vous des capacités insoupçonnées. Vous saurez prendre de meilleures décisions dans votre vie, dire NON et développer votre confiance en vous, vous serez moins anxieux, plus positif et plus enthousiaste. Vous passerez des tests de connaissance de soi et de décodage de ses sens à la visualisation. Vous apprendrez la respiration, la méditation et vous préparerez à des rêves intuitifs.


David O’Hare est médecin généraliste, spécialiste de la cohérence cardiaque, discipline qu’il a introduite en France et qu’il enseigne aux médecins au sein de l’Institut de Médecine Intégrée fondé par son ami David Servan-Schreiber.
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Secret de Famille ?
Ces dernières années, le sujet des secrets de famille est de plus en plus abordé en consultation avec pour question principale : « Mon père est-il mon père biologique ? » Pour d’autres, il s’agit de faire un retour en arrière pour comprendre un blocage soudain ou lointain. Le temps effacerait-il les blessures ?
Tout d'abord, le secret de famille n'est pas seulement un non-dit, mais également un interdit de connaître ce qui est souvent douloureux pour les parents. Les secrets de famille sont la cause de troubles affectifs qui se transmettent de parents à enfants. Ils portent à la fois sur le contenu qui est caché et sur l’interdiction de dire et l’incapacité même de comprendre. Dans leur grande majorité, les secrets ne sont pas issus d'événements coupables ou honteux comme nous pourrions le penser. Les « fautes de nos ancêtres » ne représentent qu’une infime minorité. Le propre du secret est de ne pas être formulé avec des mots uniquement mais peut également être révélé au travers d’autres canaux de communication, notamment gestuel, tonal, mimiques… Autres formes de symbolisation. Sous l’effet d’un secret qu’il pressent, la personnalité d’un enfant ou d’un adulte est toujours amenée à se couper en deux. D’une part, il est obligé de repérer l’existence du secret douloureux et d’autre part, de nier son existence ! Ces traumatismes vécus par une génération nous plongent dans des questionnements et doutes. Ils interviennent parfois indirectement sur nos choix.
A terme, ils peuvent entraîner plusieurs troubles dont principalement une perte de confiance envers les autres et soi-même. En pensant que nos parents sont coupables de quelques actes terribles qu'ils voudraient nous cacher, nous perdons confiance en nos propres capacités. Nous pouvons douter de la réalité de ce nous voyons ou entendons. Par ailleurs, le fait de grandir dans une famille à secrets fait que nous créons inconsciemment à l’âge adulte de nouvelles situations de secrets. Ne pouvant maîtriser ses secrets, nous en créons d’autres que nous pourrons contrôler. Heureusement, tous les traumatismes n'engendrent pas forcément un secret, car il est toujours possible d'évaluer et de surmonter leurs effets. Etre authentique est sans doute la meilleure façon d’éviter la construction de secrets familiaux pathogènes.
La honte s’avère intimement liée au secret. Un individu peut avoir honte de ses actes, de sévices subis, mais aussi de sa famille, quand bien même il n’aurait rien à se reprocher lui-même. Nommer la honte, reconnaître l’existence de ce sentiment revient à faire un premier pas vers la reconstruction.
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Comment se découvre-t-il ? Le secret ne s’oppose pas à la vérité, mais à la communication !
La plupart des secrets sont liés à un traumatisme non-surmonté, qui peut être individuel, comme un deuil ou une fausse couche, ou collectif : les catastrophes naturelles, les attentats et les guerres sont des sources importantes de secrets dans lesquelles le silence familial est redoublé par le silence social. Les enfants qui grandissent dans des familles où il existe des secrets graves présentent souvent des troubles de leurs apprentissages scolaires. Ils sont, par exemple, rêveurs, dissipés, ou concentrent leur intérêt sur une seule matière aux dépens de toutes les autres.
L’importance de dévoiler un Secret.
Dans la transmission, ce qui importe n'est pas le contenu mais la capacité à pouvoir se construire une représentation. Il faut évoquer les questions douloureuses, non pas pour tout expliquer, mais pour rassurer sur le fait qu'ils ne sont pas responsables des souffrances de leurs parents. Donner à l’enfant le droit de se questionner et de questionner ses parents. L’important est d’éclairer l’enfant à partir de ce qu’il connaît. De même, s’intéresser à l’histoire ou à la région géographique où a vécu la famille permet d’obtenir d’autres éléments.
Le psychiatre et psychanalyste Serge Tisseron nous donne de multiples exemples, dans son ouvrage "Les secrets de famille".
La Conscience de Soi

On se sent exister à partir du moment où l'on prend conscience de soi.

Nos états d'âme nous permettent à la fois de comprendre le monde dans lequel on vit et de nous adapter.
Parce que nous ressentons davantage d'émotions négatives que positives. Notre cerveau les repère plus rapidement que les autres. C'est une donnée objective de notre psychobiologie. Dans les études où les gens doivent citer le maximum d'adjectifs décrivant leurs états d'âme, on obtient trois quarts de termes négatifs pour un quart seulement de positifs.
Le stress donne soit la possibilité de fuir ou de se battre.
Les émotions négatives, comme la méfiance, la haine, la prudence, présentent un avantage adaptatif et sont indispensables à la survie. Mais elles nous fragilisent et grignotent notre joie de vivre. Or dans la logique de l'évolution, les émotions positives sont aussi très précieuses pour la capacité à explorer l'environnement ou à se réparer après une blessure. Il suffit d'augmenter légèrement les états d'âme positifs d'une personne - par des petites manipulations de labo, comme de le faire gagner à des jeux simples, ou de lui faire un petit compliment - et aussitôt sa créativité, son esprit de synthèse, sa curiosité vont bondir.
Dans l'idéal, on pourrait viser une vie où nos états d'âme seraient à 2/3 positifs et 1/3 négatifs.
En thérapie, on peut donc se servir des émotions positives pour limiter l'impact des négatives.
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Trouver un équilibre intérieur n'est pas utopique, c'est très concret.
Notre force intérieure réside entre autres dans une meilleure régulation de nos états d'âme. Souvent perçus comme douloureux, ils sont pourtant le socle de notre identité. Les comprendre, les accepter et trouver le bon équilibre, cela s'apprend.
La notion de conscience de soi s'apprend.
Notre équilibre intérieur nécessite des efforts, au même titre que notre forme physique que nous entretenons par une activité sportive et une alimentation équilibrée. L'équilibre intérieur n'est pas une climatisation mentale, mais une aptitude à revenir régulièrement à son point d'équilibre. C'est une aptitude dynamique, non un état figé.
Bonne humeur, paix intérieure, confiance, sérénité… Mais aussi cafard, inquiétude, nostalgie, agacement, désespoir… Mélange subtil d’émotions et de pensées, nos états d’âme sont le cœur battant de notre lien au monde. Toujours présents, toujours influents, ils accompagnent chaque moment de notre vie.
Ce livre va nous aider à les comprendre et à les moduler. Savoir descendre en soi, accueillir ses états d’âme et les faire évoluer peut tout changer dans notre vie. Et nous guider alors vers un petit peu plus de bonheur, de sagesse et de sérénité.
Christophe André est médecin psychiatre et psychothérapeute. À la fois scientifiques et chaleureux, tous ses livres, traduits dans de nombreuses langues, sont de grands succès : Imparfaits, libres et heureux, Psychologie de la peur, Vivre heureux.
Boris Cyrulnik - Mourir de dire : la honte
Publié à Vienne en 1936, Le Moi et les mécanismes de défense, constitue une tentative d'Anna FREUD (1895-1982), psychanalyste et pionnière de l'analyse des enfants, d'intégrer la psychanalyse à la psychologie. Cette œuvre, très proche de l'analyse concrète des patients qu'elle fréquente, élabore une théorie devenue classique des mécanismes de défense en psychanalyse.
Texte assez facile à lire, même s'il réclame de l'attention, relativement court et découpé en petites parties, il comporte quatre grandes parties, Théorie des mécanismes de défense, Exemples d'évitements de déplaisir et de danger réels, Exemples de deux types de défense et Mécanismes de défense déclenchés par la peur des pulsions trop puissantes, L'ouvrage reste très près de la théorie psychanalytique classique élaborée par son père, Sigmund FREUD. Il constitue encore aujourd'hui une bonne introduction aux questions de défense psychique.
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Spiritualité des Indiens D'Amérique : Les Hopis

"Par tradition, la vie des Indiens hopi est divisée en deux courants principaux. L'un comprend le système de clan, qui règle l'aspect physique, ou exotérique, de leur vie et les relations sociales des gens les uns avec les autres. L'autre comprend les différentes sociétés religieuses, avec en particulier le culte des Catsinas, qui resserrent les liens des Hopis à travers une expérience religieuse commune."

Issue du témoignage direct de Chefs spirituels - sur leur histoire, leurs mythes, leurs légendes et leur religion -, l'information réunie dans cet ouvrage par Robert Boissiere est d'une nature unique. Non content de nous introduire à la mythologie des Hopis, à leur cycle cérémoniel annuel, aux rites qui conduisent de la naissance à la mort, et à leur célèbre prophétie, il nous fait aussi partager leur enseignement et leur discipline en puisant à des sources ancestrales.

Au-delà de la vie sociale et cérémonielle sur laquelle il lève un voile, R. Boissiere nous permet ainsi de pénétrer l'esprit, l'espace, et le temps de l'atmosphère quotidienne du peuple hopi.

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La Vie Après la Vie ...
L'expérience d'une NDE ou EMI, se réfère aux phénomènes vécus par certains rescapés d'accidents, voire lors d’occasions exceptionnelles, ou par exemple, au cours d'interventions chirurgicales.
 
Sur le mystère de la «vie après la vie», les travaux de Raymond Moody -médecin et docteur en philosophie bouleversent les sciences humaines, la théologie et jusqu'à notre vie de tous les jours... Raymond Moody est un précurseur de l’étude des EMI. Son premier livre écrit en 1975, est le premier ouvrage publié sur le sujet qui a permis de faire connaître ses expériences, et qui a attiré l'attention du public sur l'après-vie.
Il remarque que les témoins sont unanimes à dire que leurs expériences sont inexprimables. Écrit sur la base des témoignages de plus d’une centaine de personnes ayant repris connaissance après une expérience de coma profond ou après avoir été déclarées cliniquement mortes, ce livre fut à l’époque un énorme best-seller. Il déclencha une intense émotion chez la plupart des lecteurs, car il permettait pour la première fois d’établir un lien et des analogies troublantes entre les différents récits de toutes ces personnes confrontées à des NDE (near death experiences), c’est-à-dire à des expériences « aux portes de la mort. »

Le Docteur Moody révélait notamment dans son livre qu’un très fort pourcentage des « miraculés » interrogés reconnaissaient :
- avoir, avant de tomber dans le coma, revécu en une infime fraction de seconde l’ensemble de leur incarnation terrestre avec une précision étonnante.
- avoir ensuite traversé une sorte de tunnel sombre et lugubre et y avoir éprouvé une angoisse indicible.
- avoir, au bout d’un laps de temps variable, remarqué une magnifique lumière qui brillait au loin.
- avoir alors été irrésistiblement attirées par cette source de lumière qui diffusait en même temps un amour extraordinaire.
- avoir éprouvé une joie et un bonheur indescriptibles au contact chaleureux de cette source d’amour et de lumière.
- avoir rencontré, dans la lumière de cette source, des amis ou des membres de leur famille décédés qui les avaient convaincues de retourner dans le plan physique, souvent pour achever une mission.
- être revenues à contre cœur et à regret dans le monde des « vivants ».
 
Les personnes questionnées insistaient également sur le caractère pénible de l’éloignement de la source de lumière et du retour à la vie terrestre, avec ce terrible réapprentissage de la souffrance, de l’égoïsme et de la dualité. Elles déclaraient en outre avoir, à travers leur expérience NDE, acquis la conscience d’un devoir ou d’une mission sacrée à remplir sur la Terre, ainsi que la volonté inébranlable d’aider leur prochain et de ne plus gaspiller leur temps ni leurs énergies en distractions ou plaisirs plus ou moins stériles et inutiles.
 
Un livre qui bouleverse et libère de bien des peurs.
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