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L’Humain :

Énergie Intuitive & Universelle pour un développement durable.

Comment optimiser ce capital humain pour un management évolutif ?

Dès le début du 20ème siècle, le facteur humain ressort comme thème de prédilection dans l’étude des différentes techniques de management.

De nos jours, l’ambition humaine couplée à celle de l’entreprise, mise grandement sur sa stratégie de développement et vise à assurer sa pérennité.

 

Au cœur de ce défi : l’Humain !

Comment optimiser ce capital humain pour un management évolutif ?

Dans le contexte actuel, les différents acteurs étatiques et les institutions privées se retrouvent face à une compétitivité internationale décuplée. Cette complexité s’explique aisément de par les brutaux changements économiques, techniques et structurels. A eux seuls, ils reflètent cette instabilité permanente à laquelle chacun doit faire face, s’adapter et anticiper dans un but de stabilité afin de sécuriser son territoire, son entreprise et préserver les emplois de ses salariés.

La relation humaine, au cœur de multiples débats, loin d’être reléguée au second plan, doit évoluer, s’ancrer au sein de nos stratégies et politiques d’entreprises. Elle représente l’énergie universelle qui permet à ce monde en pleine mutation de progresser de manière significative.

Ainsi, certains facteurs, dans l’optique d’un changement, se dessinent :

  • Imposer au management de demain une logique intuitive pour un développement durable.

S’imposer comme l’architecte des théories de demain, en stimulant chez chacun une logique inventive de nouveaux processus de coopération entre les différents acteurs, en soutenant l’innovation et la création sous toutes ses formes.

Afin d'accroître leur potentiel, certaines organisations veilleront à se restructurer en unités plus petites et flexibles sur le long terme. Ces capacités à utiliser l’énergie pour faire du bien et à communiquer avec les multiples énergies qui nous entourent sont accessibles à tous.

Sous-estimer ses propres valeurs ou minimiser sa participation devrait être banni de certaines logiques. Aider, d’une certaine façon, c’est regarder l’autre grandir, diffuser le bien-être autour de soi quotidiennement pour servir le changement mondial et non le subir.

  • Optimiser l’énergie humaine personnelle au profit du collectif.

Manager dans le futur implique d’encourager la diversité des approches, relativiser les désaccords, évitant les périodes de repli, dans l’objectif premier d’une collaboration performante, plus recentrée sur l’essentiel de décisions cohérentes communes.

Dans cette optique de renouvellement constant, chaque acteur met un point d’honneur à clarifier ses choix, retisser des liens à tous les niveaux.

En revalorisant son propre capital humain, l’individu développe une énergie fulgurante permettant d’enrichir la culture de l’entité même, également une intelligence intuitive simultanée.

  • S’informer pour orienter les opérations à mener.

Dans cette conduite au changement, il apparait nécessaire d’ordonner ses pensées, de développer ses compétences, d’accélérer des prises de décision pour rectifier rapidement notre position, diriger nos actions vers les buts fixés. Ainsi, de simples lectures, en passant par la formation, le phénomène de résonance se produit, impactant directement la relation à autrui.

  • Revoir et reconstruire l’organisation des territoires comme des institutions privées et publiques.

Marquée clairement comme l’un des grands enjeux futurs en manière de politique interne et externe, il ne suffira plus de rester masqué derrière un titre ou un statut confortable.

Sortir de sa zone de confort, en établissant une communication active et adaptée, permettra de fuir les obstacles présents et futurs. Cette technique de proximité, outre la facilité d’une mise en place rapide, augmente de façon significative, presque dans l’immédiateté, la créativité et la vitalité nécessaires à l’essor de ses propres ressources.

Prioriser la communication relationnelle revêt un caractère essentiel pour construire ensemble l’avenir de nos organisations.

  • Coévoluer et se responsabiliser.

Chaque intervenant doit prendre conscience qu’il crée sa propre réalité, qu’il s’impose de reprendre le pouvoir en se libérant des schémas auxquels il résiste encore.

Tensions ou peurs même inconscientes n’entraînent qu’épreuves supplémentaires et ne font que ressortir nos propres limites, celles que nous croisons communément, nous empêchant d’accueillir les événements avec plus d’empathie.

  • Mesurer l’impact de son repositionnement.

C’est d’abord avoir appris à écouter, entendre et tirer profit des représentations inhérentes à chacun pour établir un diagnostic fiable et intégrer les données relatives aux divers environnements, en vue d’une implication positive, sans pression.

Puis, c’est marquer de son empreinte le potentiel humain que l’on aborde, le nourrir de notre culture, de la richesse de nos approches et expertise.

« Les nations, de même que les individus, ne doivent leur énergie qu'à de grands sentiments.»

Balzac

Parce que seuls, nous ne pouvons rien ou si peu ! L’humilité, loin de revenir comme leitmotiv d’une société « éparpillée » pour trop souvent choisir l’égoïsme au détriment de l’ouverture, seul vecteur porteur d’une réussite conjointe.

Cultiver l’humain, c’est assurer son propre capital, moteur de stabilité dans une société en pleine mutation.

Transformons cette énergie consommatrice et attentiste en une énergie productive et émergente des talents de demain !